Quelques jours après le vote du Parlement réuni en Congrès français en faveur de la constitutionnalisation de droit à l’IVG, le sujet est hautement inflammable. L’Union européenne est-elle en passe d’autoriser la libre marchandisation des fœtus, embryons et gamètes humains à l’instar des personnes et des marchandises ? Si la question a de quoi surprendre, elle souffre déjà d’un défaut temporel, ou de concordance des temps pourrait-on dire. Contrairement à ce que laisse croire cette fausse nouvelle, le vote survenu au Parlement européen sur « les normes de…